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« Supiim », ou quand la sagesse du forgeron s’exprime sur une scène de théâtre avec les paroles d’un conteur. Le Burkinabè Kientega Pingdéwindé Gérard, dit KGB, met la magie du feu et du fer au service de l’art. À l’occasion des Zébrures d’automne du festival des Francophonies en Limousin, l’artiste a installé, au Sirque de Nexon, un véritable atelier de forgeron pour forger ses paroles, extraire le fer et transformer le public.
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